Date published: 29/03/2011

Mise à niveau des fenêtres à Val-de-l'Anse

315-achat-condo29 mars - La copropriété Val-de-l’Anse, située à l’Île-des-Sœurs, a fait l’objet d’une rénovation majeure l’automne dernier. Les travaux portaient, principalement, sur le reconditionnement des quelque 438 fenêtres et 212 portes patio en aluminium de l’immeuble, qui sont réparties dans quelques 124 condos. Cette remise à neuf était devenue nécessaire, car le bâtiment était aux prises avec des problèmes d’infiltration d’air et d’eau. La fenestration offre désormais une étanchéité à l’air supérieure à celle d’origine, comporte une meilleure insonorisation, et sur le plan financier, les copropriétaires de Val-de-l’Anse ont économisé des milliers de dollars.

« S’ils avaient remplacé l’ensemble des fenêtres du bâtiment par des neuves, la facture aurait plus que triplé », estime Pierre Montpetit, pdg et cofondateur du Groupe Fenestra, l’entreprise qui a été mandatée pour effectuer cette vaste opération de remise à niveau. Les châssis d’aluminium représentent environ 90% du coût d’assemblage d’une fenêtre neuve. En maintenant ceux qui étaient déjà en place, et en ne remplaçant que les composantes arrivées à terme (ex : coupe-froid et manivelles), les résultats obtenus ont été à la fois étonnants et probants. Outre les performances énergétiques accrues desdites fenêtres, dans ce cas-ci, le changement de leurs poignées a rendu plus facile leur ouverture et fermeture.

Selon certains experts en fenestration, la durée de vie utile des châssis en aluminium est d’environ cent ans. Et de nos jours, la plupart des composantes propres à une fenêtre sont beaucoup plus performantes. À titre d’exemple, les nouveaux coupe-froid peuvent durer jusqu’à 50 ans. Idem pour les glissières, qui sont maintenant constituées de téflon (un matériau plus viable), favorisant également un meilleur déplacement des volets. Néanmoins, dans ce marché comme dans bien d’autres, il faut se méfier des imitateurs, dit-on. « Reconditionner des fenêtres est une chose, livrer la marchandise en est une autre », affirme Pierre Montpetit, qui rappelle avoir investi plus d’un million $ en recherche et développement pour peaufiner sa technique.

Pour plus d’information sur le Groupe Fenestra :

www.groupefenestra.com

Montréal, mardi le 29 mars 2011