17 décembre - Une récente étude menée aux États-Unis, en Floride, conclut que les copropriétés permettant la présence d'animaux de compagnie se vendent plus cher. Celles qui les interdisent ne sont pas affectées par des fluctuations de prix.
L'enquête a porté sur les ventes de condos à Fort Lauderdale, entre 2005 et 2007. Ses auteurs ont axé leur étude sur des copropriétés permettant ou non la présence d'animaux, et ce, peu importe leur taille. Il en ressort notamment qu'une vaste population d'aînés vit dans le sud de la Floride, et qu'elle affectionne nos amies les bêtes. En fait, le Canada et les États-Unis vivent le phénomène du vieillissement de leur population, ce qui fait croître le nombre de propriétaires résidentiels possédant des animaux.
Dans le passé, les copropriétés en hauteur étaient nombreuses à les interdire aux États-Unis, sous prétexte qu'ils n'étaient pas compatibles avec ces types d'immeubles. Mais la nouvelle réalité oblige les promoteurs à revoir leurs plans. Ils évitent ainsi de se priver d'acheteurs de plus en plus nombreux à avoir un animal.
Montréal, le 17 décembre 2013
Source: Condo Reporter